7 Décembre 2012
Si les contrats d’avenir sont une bonne chose, l’AJFER-Nou Lé Kapab estime que "S’il y a bien des choses quisont faites pour essayer d’enrayer le chômage de masse, le compte n’y est pas.
Très perfectibles, les mesuresd’urgence ne sont pas à la hauteur des enjeux. Le pire est que certains responsables politiques tentent de faire croire au peuple que ces plans d’urgence sur une durée déterminée résoudront le problème de fond. Les dispositifs sociaux sont nécessaires à toute société et encore plus en période de crise."
L’association affirme qu’on ne peut absolument pas faire l’économie d’amorcer un véritable changement, en apportant des propositions de fonds : revoir les logiques de formation, d’accompagnement, d’insertion professionnelle, de créations d’emplois, de développement, …
Les réponses partielles sont irresponsables et nos élus ne peuvent démissionner des responsabilités pour lesquelles le peuple les a choisit.
"Ces changements nous le savons ne peuvent se faire en un jour mais ils doivent être amorcés, une direction doit être donnée. Dresser des perspectives c’est se projeter dans l’avenir c’est fédérer le peuple autour d’un objectif clair", explique Gilles Leperlier, son président.
Clicanoo - 06 décembre 2012 - J. P-B - Retrouvez la vidéo ici
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